Conséquences de l'Atlas sur le liquide cérébro-spinal
Dans cette page, nous souhaitons approfondir les répercussions du désalignement de l'Atlas sur le liquide cérébro-spinal et les symptômes qui peuvent en découler. Pour ce faire, nous fournirons quelques notions d'anatomie de base, volontairement simplifiées, car notre objectif n'est pas de proposer une dissertation scientifique, mais de faciliter la compréhension des mécanismes en jeu.
Qu'est-ce que le liquide cérébro-spinal ?
Le liquide céphalo-rachidien, communément appelé LCR ou liquide spinal, est un fluide transparent qui entoure et protège le cerveau et la moelle épinière. Il sert d’amortisseur contre les chocs, maintient un environnement chimique stable, nourrit le cerveau et facilite l’élimination des déchets métaboliques.
Comment le LCR est-il produit ?
Le LCR est produit à un rythme d’environ 0,5 litre par jour à partir du plasma contenu dans le sang artériel qui parvient au crâne principalement via les artères carotides. Après avoir accompli ses fonctions, le LCR est réabsorbé et renvoyé dans la circulation veineuse par les veines jugulaires. À tout moment, le système nerveux contient entre 60 et 200 ml de liquide, qui est renouvelé 3 à 4 fois par jour.
Comprendre le circuit du liquide rachidien
Comprendre « d'où provient » et « où va » le liquide céphalo-rachidien, c’est-à-dire raisonner en termes d’entrée et de sortie, nous aide à identifier l’origine de nombreux symptômes neurologiques considérés comme incurables. Les liquides, étant incompressibles, obéissent à une loi physique fondamentale : si la sortie rencontre un obstacle, l’entrée est également ralentie. Autrement dit, si le liquide ne peut pas sortir, le nouveau liquide ne peut pas entrer. Lorsque la veine principale, c’est-à-dire la veine jugulaire par laquelle le LCR est évacué, présente une sténose, comment le liquide cérébro-spinal peut-il s’écouler correctement ? Si le renouvellement du LCR est entravé, pouvez-vous imaginer les effets que cela peut avoir sur le cerveau ? Il semble que peu de gens se posent cette question.
Comme c’est souvent le cas, on se perd dans des détails insignifiants, négligeant ce qui est évident. Il n’est pas surprenant que les poissons d’un aquarium tombent malades ou meurent si l’eau n’est jamais changée ; de la même manière, il ne devrait pas étonner que des problèmes neurologiques, comme les céphalées et bien d’autres troubles, apparaissent lorsque le cerveau est contraint de « flotter » dans ses propres déchets !
Conséquences d'une altération de la production ou de la réabsorption du LCR
Une altération significative de la production ou de la réabsorption du liquide spinal peut provoquer des conditions telles que l’hydrocéphalie chez les enfants ou l’hypertension intracrânienne chez les adultes. Des altérations moins marquées, qui compromettent l’évacuation du LCR, peuvent avoir un impact considérable en influençant l’équilibre des pressions indispensable au bon fonctionnement du système nerveux.
Le LCR s’adapte aux variations du flux sanguin et de la masse cérébrale pour maintenir constantes la pression et le volume intracrâniens, mais un déficit du flux sanguin peut affecter directement la production du LCR et son cycle d’élimination.
Altérations du flux et de la pression du liquide cérébro-spinal
Le désalignement de l'Atlas et les problèmes posturaux qui en découlent peuvent influencer le flux du liquide céphalo-rachidien (LCR) et la pression intracrânienne, avec des conséquences potentielles sur diverses fonctions neurologiques.
Les études menées par le Dr. Zamboni et son équipe offrent des perspectives extrêmement éclairantes à ce sujet. Cependant, si ces nouvelles découvertes étaient adoptées comme elles le méritent, de nombreuses thérapies pharmacologiques deviendraient obsolètes, ce qui explique la résistance de la médecine conventionnelle à en reconnaître la valeur. Par conséquent, les découvertes de Zamboni restent confinées à un cercle restreint de personnes conscientes, prêtes à s'informer par elles-mêmes.
Le Dr. Paolo Zamboni est connu pour ses recherches sur l'insuffisance veineuse chronique céphalo-rachidienne (IVCCR), une condition qu'il a supposée être étroitement liée à la sclérose en plaques (SEP). Sa découverte la plus significative concerne l'observation qu'un flux veineux altéré en provenance du cerveau et de la moelle épinière pourrait contribuer aux symptômes de la sclérose en plaques. Zamboni a identifié que de nombreux patients atteints de SEP présentaient des rétrécissements (sténoses) ou des malformations des veines jugulaires et azygos, entravant l'écoulement sanguin normal. Ce phénomène entraîne une accumulation de fer dans les tissus cérébraux, provoquant inflammation et lésions neurologiques.
Effets possibles d’un Atlas désaligné sur le liquide céphalo-rachidien :
- Compression ou restriction des voies du LCR : Un Atlas désaligné peut comprimer les tissus mous environnants ou rétrécir le foramen magnum, entravant la libre circulation du LCR vers la moelle épinière. Dans les cas graves, comme le syndrome de Chiari, le cervelet peut descendre dans le canal rachidien, obstruant le passage du LCR.
- Modifications de la dynamique cranio-sacrée : Le flux pulsatile du LCR peut être altéré par des restrictions à la base du crâne. Des ostéopathes ont observé qu’après un traitement Atlantomed, le rythme cranio-sacré augmente en amplitude, améliorant ainsi la dynamique du flux.
- Ralentissement du renouvellement du LCR : Si l’une des veines jugulaires présente une sténose congénitale ou est comprimée par C1 et C2, la recirculation du LCR ralentit, laissant le cerveau « baigner » dans un fluide stagnant riche en déchets métaboliques. Il n’est donc pas surprenant que le cerveau puisse cesser de fonctionner correctement, entraînant, avec le temps, le développement de symptômes pouvant évoluer en pathologies plus graves.
- Augmentation de la pression intracrânienne : Les obstructions du flux du LCR peuvent provoquer une augmentation de la pression intracrânienne, entraînant des symptômes tels que des céphalées, des vertiges, des troubles visuels et, dans les cas graves, une altération des fonctions neurologiques.
Au-delà des troubles spécifiques qui peuvent se manifester, il est fondamental de comprendre que le système nerveux ne peut pas fonctionner de manière optimale si le liquide qui le nourrit ne circule pas correctement. Étant donné que votre vie dépend de votre système nerveux, le négliger serait vraiment imprudent. La prévention consiste à s'assurer que le corps puisse fonctionner au mieux, plutôt que d'attendre l'apparition de symptômes pour s’y concentrer. Il devrait être évident que cette approche est la moins efficace, la plus douloureuse et la plus coûteuse.
Répercussions négatives sur le système nerveux
- Irritation nerveuse : Un flux de LCR altéré peut contribuer à l’irritation des racines nerveuses, provoquant des douleurs neuropathiques ou des sensations anormales.
- Réduction de la nutrition des tissus nerveux : Une circulation inefficace du LCR peut compromettre le transport des nutriments vers le cerveau et la moelle épinière, empêchant la régénération cellulaire.
Symptômes associés à un flux altéré du LCR
La circulation du LCR suit un flux pulsatile synchronisé avec la respiration et la fonction cardiaque.
- Troubles neurologiques – sclérose en plaques – Alzheimer
- Fatigue chronique – difficultés cognitives
- Céphalées persistantes (souvent aggravées en position debout ou couchée)
- Pression intracrânienne anormale (hypotension ou hypertension du LCR)
- Troubles de l’équilibre et de la coordination
- Problèmes visuels, comme une vision floue ou double
- Acouphènes – sensation de pression auriculaire
Conclusion
La médecine a tendance à ne considérer le LCR que dans ses manifestations les plus graves, tandis que les symptômes plus légers sont souvent attribués à des troubles neurologiques d'origine inconnue. Une meilleure prise de conscience et une intégration des découvertes récentes pourraient conduire à des diagnostics plus précis et à des traitements plus efficaces.
Après le traitement Atlantomed, plusieurs cas ont été observés où la pression intracrânienne et les troubles associés ont disparu. Cependant, il est important de considérer que d'autres conditions médicales, au-delà de la position de l'Atlas, peuvent être présentes. Par exemple, la veine jugulaire peut présenter une sténose, comme le mettent en évidence les études sur l’IVCCR du Dr. Paolo Zamboni, un sujet qui peut être approfondi ailleurs. Nous vous invitons également à consulter la page dédiée au système nerveux.
Interviews vidéo : troubles du système nerveux
témoignages après le réalignement de l'Atlas
De nombreuses personnes ont signalé des améliorations significatives après le réalignement de l'Atlas. Leurs expériences, documentées à travers des interviews vidéo et des témoignages, mettent en lumière comment une simple intervention sur une seule vertèbre peut améliorer considérablement la qualité de vie.
Littérature scientifique
- Cerebrospinal Fluid System.
- Craniocervical Junction Syndrome.
- Relationship Between Misalignment, Obstruction of Cerebrospinal Fluid Flow.
- The Role of the Craniocervical Junction in Craniospinal Hydrodynamics.
- The lateral atlanto-axial joint as a source of headache.
- Important contributor to human cerebrospinal fluid circulation.
- Vertebral artery blood flow changes associated with cervical spine rotation.
- Collateral Circulation in Chronic Cerebrospinal Venous Insufficiency.
- Understanding Jugular Venous Outflow Disturbance.
La bonne attitude mentale
Pourquoi, après avoir suivi le même traitement, une personne guérit-elle et une autre non ?
L’attitude ou la disposition mentale joue un rôle fondamental dans le résultat de tout processus de guérison.
- Si tu es convaincu(e) de tomber malade, il est fort probable que tu tomberas effectivement malade.
- Si tu crois fermement en la guérison, il est très probable que tu retrouveras la santé.
Ce que TU considères comme la réalité, d’une manière ou d’une autre, tu le rendras RÉEL.
Dans la vie pratique, ce principe se heurte aux "contre-intentions" provenant de l’environnement ou des personnes autour de toi, qui peuvent faire obstacle à la réalisation de tes objectifs et à la concrétisation de ta réalité. En toi-même, ces contre-intentions extérieures n’existent pas, ce qui te permet de rendre réel ce que tu estimes devoir arriver, sauf si tu contredis toi-même ta pensée immédiatement après l’avoir formulée.
Cette dynamique du "savoir qu’on a raison" peut conduire à deux extrêmes : provoquer des désastres ou générer des événements qui peuvent sembler miraculeux.
Que signifie tout cela ?
Tes pensées activent des mécanismes physiques qui peuvent les transformer en réalité, que ce soit pour le mieux ou pour le pire.
Le corps humain est capable de produire de manière autonome des substances organiques qui favorisent la guérison ou la maladie, selon tes pensées. Cependant, la médecine traditionnelle tend à ignorer ces phénomènes, car ils contredisent ses dogmes et paradigmes (voir le lien ci-dessous).
Pour appuyer cela, il existe diverses expériences intéressantes, dont certaines ont été scientifiquement étudiées par la physique quantique et qui remettent complètement en question les lois physiques actuelles considérées comme universelles.
La médecine conventionnelle n’approfondit pas ces thèmes, souvent par commodité : le système profite de ton état de maladie et de ton ignorance de ces mécanismes. Les médecins s’attribuent souvent le mérite de guérisons qui ont en réalité été auto-induites par les patients eux-mêmes, les attribuant à tort aux médicaments prescrits.
Si tu es fermement convaincu(e) que quelque chose te fera du bien, cela se produira probablement. À l’inverse, si tu crois que cela te fera du mal, il est très probable que cela arrive.
Le premier phénomène est appelé effet placebo, tandis que le second, effet nocebo. Des études scientifiques quantifient l’efficacité des deux phénomènes respectivement à 30 % et 50 %. Cela signifie que si tu es convaincu(e) qu’une chose te fera du mal, tu as 50 % de chances que cela se produise réellement.
Une attitude mentale négative peut saboter les fonctions du corps, allant dans des cas extrêmes jusqu’à provoquer la mort. Il ne manque pas d’exemples de décès causés par une douleur émotionnelle.
Un exemple concret d’effet nocebo s’est produit à Zurich en 2012, lorsqu’un sachet contenant une poudre blanche s’est cassé dans une succursale de la Poste, déclenchant une panique pour un supposé attentat à l’anthrax.
En conséquence, 34 employés ont été transportés aux urgences et hospitalisés en soins intensifs, présentant des symptômes typiques d’un empoisonnement tels que des maux de tête soudains, une toux, des vomissements et une irritation des voies respiratoires.
Après les analyses chimiques nécessaires, qui malheureusement prennent du temps, il s’est avéré qu’il ne s’agissait que de farine ordinaire. Ce récit devrait te faire comprendre ce dont notre esprit est capable.
Voici l’article correspondant en allemand : ARTICLE DE JOURNAL.
Tu trouveras ici d’autres expériences scientifiques très intéressantes sur le sujet : Télécharger le livre.
Penser positivement ne suffit pas
Si tu penses maintenant qu’il suffit d’avoir des pensées positives pour guérir, il est important de corriger cette croyance. Avoir des pensées positives ne suffit pas : il faut certitude et conscience complète. Tu dois savoir avec une conviction absolue que quelque chose se produira, une différence subtile mais fondamentale par rapport au simple fait de croire.
La certitude se situe à un niveau bien plus élevé que simplement croire que c’est ainsi.
Pour mieux comprendre, considère cet exemple : crois-tu à la force de gravité ou SAIS-TU qu’elle existe réellement ? Crois-tu que le soleil se lèvera demain ou SAIS-TU avec une certitude absolue que cela arrivera, ayant observé ce phénomène tous les jours de ta vie ? Comprends-tu la différence ?
Si tu es certain(e) que rester proche d’une personne grippée te rendra malade, il est probable que cela se produise. Tu saboteras ton système immunitaire au point de rendre réelle ton attente, te donnant ensuite l’occasion de dire : "je le savais, j’allais tomber malade en restant à ses côtés !". À l’inverse, si tu SAIS que rester proche d’une personne malade n’aura aucun effet sur toi, tu resteras probablement en bonne santé.
La détermination à avoir raison peut être si forte qu’elle l’emporte même sur la vie elle-même. Pensons aux personnes qui meurent pour un idéal ou dans la tentative de réaliser leurs pensées.
Ce phénomène est évident chez les mères de famille : tout le monde à la maison est malade sauf elle. Elle sait qu’elle ne peut pas se permettre de tomber malade, car sinon, qui s’occupera de sa famille ? De même, les médecins dans les hôpitaux, bien qu’étant constamment en contact avec des patients infectieux, ne tombent généralement pas malades. Le même phénomène se produit chez les managers qui dirigent l’entreprise : ils ne peuvent absolument pas se permettre de tomber malades et, par conséquent, ne tombent pas malades. Ils ne considèrent pas la maladie comme une option valable, et celle-ci, en réponse, ne se présente pas.
Le même principe s’applique également dans le sens inverse. Si tu es convaincu(e) qu’une certaine habitude te rendra malade, il est fort probable que tu tomberas malade. Néfaste est l’inscription fumer tue sur les paquets de cigarettes : en la lisant à chaque cigarette allumée, si le fumeur commence à croire à cette inscription, il finira par la rendre vraie. Et avant de mourir, il dira : "je le savais, j’allais avoir un cancer !".
Il est indéniable que fumer nuit à la santé, mais essayer de dissuader les gens de fumer avec de telles stratégies risque paradoxalement de rendre encore plus de gens malades.
Je voudrais partager avec toi deux curiosités que tu ne connais peut-être pas. Tu as vu ces campagnes antitabac où l’on montre un poumon noir imprégné de fumée, comparé à un poumon sain ? Un organe dans l’état où il est montré sur ces images, n’existe pas dans la réalité !
Aucun pathologiste lors d’une autopsie n’a jamais vu de poumons dans cet état. Un poumon vivant s’auto-nettoie en permanence et les résidus éventuels ne sont certainement pas comparables à ceux des images exagérées qu’on te montre dans ces campagnes antitabac trompeuses.
Alors, comment obtient-on de telles images ? C’est assez simple : on prend un poumon MORT et on le connecte à une machine qui pompe dans les poumons une quantité de fumée équivalente à celle inhalée par un fumeur tout au long de sa vie.
Penses-tu qu’il s’agit d’une condition réelle ? Un poumon VIVANT s’auto-nettoie, n’inhale pas de fumée 24 heures sur 24 sans interruption et certainement pas toute à la fois. Si tu as des doutes à ce sujet, je te suggère de consulter un pathologiste et de lui demander s’il a déjà vu des poumons dans cet état lors d’une autopsie.
Ces images ne servent qu’à effrayer les fumeurs, en leur faisant croire qu’ils ont des poumons pourris, même si ce n’est pas le cas. L’effet psychologique de ces images peut souvent être plus nocif que le tabac lui-même.
Expériences sur les souris
Il est couramment admis que le tabac cause le cancer. N’est-ce pas ? Mais comment cette conclusion a-t-elle été atteinte ? On a mis des souris dans une cage, on les a "enfumées" pendant des mois, et elles mouraient invariablement de cancer. La déduction logique, selon la méthode scientifique limitée, était que le tabac cause le cancer.
Mais analysons ce qui se passe réellement : les souris vivent souvent dans les greniers et les sous-sols, n’est-ce pas ? Si un incendie se déclenchait, les voies de sortie seraient inévitablement bloquées et la mort assurée. Pour cette raison, les souris sont beaucoup plus sensibles à la fumée qu’un humain. Une légère odeur de fumée suffit à les faire fuir.
Si vous voyez des souris fuir massivement dans les escaliers, cela pourrait être un signe d’incendie ou de tremblement de terre imminent. Que pensez-vous qu’il arrive à une souris si vous la "enfumez" pendant des mois, 24 heures sur 24, enfermée dans une cage sans possibilité de s’échapper ?
Pour mémoire, la majorité des souris de laboratoire, en raison de leur condition d’enfermement, meurent de cancer. Elles ont une espérance de vie de seulement deux ans, contre cinq pour une souris libre.
La même expérience a été répétée avec une espèce de souris qui vit sous terre, creusant des tunnels. Dans le sous-sol, le feu est absent, donc ce type de souris n’a aucune programmation identifiant la fumée comme une menace. Le résultat de l’expérience fut surprenant : même après des mois d’"enfumage", aucune de ces souris souterraines ne développait de cancer.
La réalité est un peu différente de ce qu’on vous raconte, n’est-ce pas ?
Revenons à la correction de l’Atlas
Nous observons ce phénomène depuis des années chez les personnes traitées avec Atlantomed.
Ceux qui abordent le traitement avec une attitude positive et une confiance dans ses bienfaits ont tendance à obtenir des résultats tangibles. En revanche, ceux qui s’approchent avec un scepticisme préjugé, motivés uniquement par le désir d’en prouver l’inefficacité ou de confirmer des croyances préexistantes, comme l’idée suggérée par leur médecin que nous serions des charlatans, obtiennent rarement des améliorations significatives.
Cela ne signifie pas que le résultat soit simplement un effet placebo, mais démontre à quel point la pensée d’une personne peut influencer profondément le résultat, qu’il soit positif ou négatif. C’est un principe qui va bien au-delà de ce contexte spécifique et trouve des applications dans de nombreux autres domaines de la vie.
Au fond de tout, il y a toujours le désir inconscient de se prouver à soi-même et aux autres qu’on a raison, activant des mécanismes qui transforment la pensée en réalité, même lorsque cela se fait au détriment de sa propre santé.
Ainsi, D’ABORD, la pensée mûrit et ENSUITE, elle transforme la réalité des choses. C’est la pensée qui façonne la réalité, et non l’inverse, comme beaucoup le croient à tort. Ce concept a été démontré par plusieurs expériences de physique quantique, notamment le célèbre expérience de la double fente.
Le simple fait de prendre conscience de ce phénomène peut complètement transformer votre vie. Si vous lisez des livres de personnes ayant beaucoup de succès, vous remarquerez que ce concept est pour elles un principe fondamental et une prise de conscience essentielle.
Admettre qu’on s’est trompé et changer d’avis demande une grande force mentale, une qualité peu courante.
Quelle est la différence entre un riche et un pauvre, entre une personne en bonne santé et une malade, entre quelqu’un qui profite de la vie et quelqu’un qui semble constamment avoir des problèmes ? L’ATTITUDE MENTALE, ce que vous considérez comme votre réalité.
Vous pouvez blâmer des facteurs externes ou d’autres personnes, mais cela ne changera ni votre situation ni votre état. Vous pouvez vous plaindre de ne pas avoir d’argent, de ne pas être en bonne santé et de toutes les mille choses négatives qui vous arrivent : ÇA NE CHANGERA PAS VOTRE SITUATION. La seule chose qui peut le faire, c’est un changement dans votre attitude mentale, en commençant par cesser les considérations négatives.
Si l’effet placebo a une efficacité de 30 % et l’effet nocebo de 50 %, il est facile de comprendre que vous avez beaucoup plus de chances de tomber malade si vous pensez être malade, plutôt que de guérir si vous pensez pouvoir le faire.
Que signifie ce jeu de mots ? Cela signifie que votre pensée peut influencer le résultat pour un total de 80 %. Avec 50 % en négatif et 30 % en positif, la différence est vraiment significative. Cela vous semble peu ? 80 % est un pourcentage énorme ! À titre de comparaison, un médicament, pour être approuvé, doit seulement démontrer une efficacité de 10 % supérieure au placebo. Et n’oublions pas la pratique, malheureusement répandue, de falsifier les résultats des études lorsque le médicament ne parvient même pas à atteindre ce modeste 10 %. Le saviez-vous ?
Tant que vous choisirez de rester piégé dans le besoin de prouver à vous-même et aux autres que vous avez raison à propos de vos pensées négatives, vous ne ferez que creuser votre propre tombe.
Vous POUVEZ AVOIR RAISON, mais il serait beaucoup plus sain de choisir d’avoir raison sur des choses positives, plutôt que négatives !
Attitude mentale négative
Tant que votre objectif restera de prouver qu’un traitement ne fonctionne pas, vos chances de guérison seront considérablement réduites.
Bien sûr, il existe des exceptions qui vont au-delà de l’attitude mentale : des erreurs techniques pendant le traitement, des conditions dans lesquelles l’Atlas ne peut pas être corrigé, des situations où l’Atlas n’est pas la cause du trouble, ou des cas où l’état de l’individu est tellement compromis qu’aucune amélioration ne serait possible, même avec un miracle. En excluant ces circonstances, les cas restants montrent souvent des attitudes mentales récurrentes, qui incluent :
- je ne guérirai jamais – je suis trop mal en point – je n’ai aucun espoir ;
- je suis malade et il n’y a pas de remède, personne ne peut m’aider ou me guérir ;
- je n’y comprends rien, ce sont les autres qui doivent s’occuper de ma santé ;
- je ne dois rien faire et je n’ai rien à comprendre ;
- j’ai droit à tout gratuitement parce qu’il y a la sécurité sociale ;
- je suis convaincu que le traitement est une arnaque pour soutirer de l’argent, sinon ce serait gratuit ;
- si c’était aussi efficace qu’on le dit, tout le monde le ferait.
Comme expliqué précédemment, il est scientifiquement prouvé qu’une attitude mentale négative peut vous priver de 80 % des chances de guérison. Pourtant, le traitement Atlantomed est capable de produire des résultats stables chez plus de 75 % des personnes traitées !
Écouter trop son corps
Une autre caractéristique très évidente chez les personnes qui semblent ne jamais obtenir d’améliorations est celle d’écouter trop attentivement leur corps, se concentrant de manière obsessionnelle sur la partie douloureuse. On sait que toute chose sur laquelle on focalise son attention a tendance à prendre de l’importance, tandis que ce qui est ignoré tend à perdre en pertinence et à disparaître.
Si vous l’ignorez et la minimisez, en faisant confiance à votre corps et à son pouvoir d’auto-guérison, la douleur disparaîtra souvent d’elle-même, comme elle est venue.
De nombreux maux et problèmes physiques perdurent dans le temps, non pas à cause d’une condition organique sous-jacente, mais parce qu’ils sont constamment alimentés par l’inconscient et les pensées négatives.
En tenant compte de tout cela, il devient clair que comparer vos maux ou résultats avec ceux des autres n’a pas beaucoup de sens. Ceux qui abordent le traitement avec une attitude positive ont plus de chances de ressentir une amélioration. En revanche, ceux qui commencent avec une attitude négative pourraient ne pas obtenir les résultats escomptés.
Si vous n’obtenez pas les résultats escomptés, cela ne signifie pas que les milliers de témoignages positifs sur la méthode Atlantomed sont trompeurs ou que le traitement est inefficace. Cela pourrait plutôt dépendre de votre attitude mentale, que seul VOUS pouvez changer.
Avant de critiquer le traitement, demandez-vous quelle attitude vous adoptez envers votre vie et votre santé. Nous pouvons proposer le meilleur traitement possible, mais si votre attitude est orientée vers l’échec, les chances d’un résultat décevant seront élevées.
Que dit-on de nous ?
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Contre-indications à la correction de l'Atlas
Contre-indications absolues
- Modifications dégénératives sévères de la colonne cervicale , (uncarthrose, ostéophytose ou soudure entre les corps vertébraux adjacents).
- Exostose épicondylienne ou déformation osseuse des condyles occipitaux.
- Malformation /syndrome d'Arnold Chiari, avec engagement des amygdales cérébelleuses du foramen magnum dans le canal rachidien.
- Hydrocéphalie traitée par une dérivation du liquide Cérébro-Rachidien LCR (la dérivation passe sous la peau du cou).
- Accident Vasculaire Cérébral AVC /attaque apoplectique plus récente que 9 mois.
- Maladies inflammatoires aiguës ou chroniques graves, notamment celles d'origine auto-immune, maladies infectieuses graves.
- Maladies qui causent le dépérissement, la cachexie (tuberculose et similaires), cancer, surtout s'il présente des métastases ostéolytiques ou ostéoblastiques.
- Décollement de la rétine, opération récente de la cataracte.
- Artériosclérose sévère
- Anévrisme cérébral
Contre-indications relatives
- Instabilité des ligaments cervicaux, notamment si, après un accident ou un traumatisme, il y a eu une blessure de la capsule articulaire, des ligaments de l'Atlas ou de l'Axis (instabilité atlanto-occipitale et atlanto-axiale). La laxité ligamentaire est une contre-indication relative, car dans ce cas la correction de l'Atlas peut être effectuée, mais elle peut ne pas être permanente.
- Malformations graves de l'Atlas affectant l'arc postérieur ou les processus transverses, incomplets ou absents, ou malformations de la charnière occipito-cervicale.
- Implants sous-cutanés: implants et prothèses d'oreille, implants de stimulateur cardiaque, implants de stimulateur vagal (VNS).
- Coup du lapin plus récente que 2 mois.
- État de santé général très mauvais: manque de ressources pour la phase de régénération.
- Prise de médicaments anticoagulants oraux ou de dicumarol tels que Coumadin et Sintrom (à l'exclusion de l'aspirine) : il s'agit de médicaments utilisés pour la prévention à long terme des embolies en cas d'arythmies cardiaques telles que la fibrillation auriculaire, de valvulopathie, d'implantation de prothèses valvulaires mécaniques, de cardiopathie dilatée, de thrombose veineuse profonde antérieure.
- En cas de grossesse, la correction de l'Atlas ne doit être effectuée que si la mère souffre de troubles considérables attribuables à un mauvais alignement de l'Atlas, ce qui l'obligerait sinon à prendre régulièrement des médicaments.
Pour les contre-indications relatives, n'hésitez pas à contacter un spécialiste Atlantomed afin d'évaluer une éventuelle solution individuelle.
Cas particuliers
Il existe certains cas où le réalignement de l'Atlas est particulièrement difficile et où il est nécessaire de varier le cours normal du traitement, par exemple:
Contrecture cervicale extrême
- Si les muscles de la nuque sont excessivement tendus, avant de procéder au traitement proprement dit, il est nécessaire d'effectuer une ou deux séances de massage intensif (séance préparatoire) à l'aide de l'appareil dédié AtlantoVib, qui induit une relaxation musculaire très profonde, capable d'apporter des bénéfices considérables. Lorsque les muscles du cou sont suffisamment détendus, il est possible de procéder à la correction du désalignement de l'Atlas.
Surabondance de tissu adipeux
- En présence d'une surabondance de tissu adipeux ou de muscles du cou extrêmement développés avec des activités sportives extrêmes, le traitement sera particulièrement problématique, notamment en raison de la difficulté à déterminer avec précision la position de l'Atlas.
Dépression grave
- En cas de forte dépression, associée à une prise prolongée de médicaments psychotropes, ou en présence d'une humeur très négative, le traitement n'est pas recommandé. Après le traitement, le corps a besoin de ressources pour se régénérer et pour éliminer les compensations posturales qu'il avait mises en place afin de contrebalancer le désalignement de l'Atlas.
Les personnes déprimées, qui manquent souvent de ressources suffisantes, peuvent ressentir des réactions négatives pendant beaucoup plus longtemps que la normale après un traitement avant qu'une amélioration ne se fasse sentir. Si la dépression n'est que le résultat de douleurs continues après un coup du lapin, ou de crises très fréquentes de migraine, alors le traitement Atlantomed peut apporter de grands bénéfices.
Cas chirurgicaux et fractures
Les opérations chirurgicales de remplacement des disques intervertébraux, discectomie, l'arthrodèse ou la laminectomie ne constituent pas une contre-indication au traitement. L'opération doit bien sûr être déjà complètement guérie.
Bloquer les vertèbres avec des plaques ou des barres permet tout de même d'effectuer la correction de l'Atlas. Les radiographies sont nécessaires pour vérifier la position exacte des plaques et des vis afin d'éviter d'appuyer exactement sur elles pendant le massage.
En plus de la correction de la première vertèbre, nous avons constaté que le traitement de la zone opérée avec l'appareil AtlantoVib peut apporter de grands bénéfices. La vibro-résonance dissout en profondeur les indurations qui se produisent inévitablement, rend les cicatrices plus tendres, augmente la vascularisation et accroît la mobilité des segments restants de la colonne vertébrale.
Il est conseillé d'anticiper la séance de correction de l'Atlas avec une séance préparatoire.
Les personnes qui ont subi de telles opérations se voient souvent refuser les traitements manuels, le thérapeute ayant une crainte infondée de faire des dégâts.
Les cas de fracture vertébrale, y compris la fracture d'Atlas, s'ils sont parfaitement guéris, peuvent être traités avec succès par Atlantomed, après les examens nécessaires et avec les précautions requises. Après une fracture de l'Atlas ou de l'Axis, nous avons besoin, pour procéder, de l'OK du médecin traitant et d'un scanner montrant la guérison complète du segment fracturé.
La fusion ou la fixation de C0, C1 et C2, comme vous pouvez facilement le deviner, exclut la correction des vertèbres en question. Il est souhaitable que les vertèbres aient été fixées dans l'alignement. Même si une correction n'est pas envisageable, il est possible de bénéficier d'un relâchement de la musculature environnante grâce à une séance de massage AtlantoVib.
Si vous avez des doutes, n'hésitez pas à contacter un spécialiste d'Atlantomed afin d'évaluer une éventuelle solution individuelle.
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