Tomographie de la vertèbre Atlas
CT Scanner spirale ou Cone Beam – IRM
Depuis des temps immémoriaux, l'homme a cherché des moyens d'observer l'intérieur du corps humain afin de comprendre son fonctionnement et d'identifier d'éventuels dysfonctionnements sans recourir à des procédures invasives. Aujourd'hui, les progrès technologiques nous offrent une large gamme d'outils de diagnostic par imagerie, chacun ayant ses caractéristiques, ses limites, ses avantages et ses inconvénients. Le choix de la méthode de diagnostic la plus appropriée dépend de ce que l'on souhaite visualiser. Certaines techniques conviennent mieux à certains types d'analyses que d'autres. Étant donné qu'il s'agit d'un sujet important pour la santé, mais souvent source de confusion pour les non-initiés, nous estimons qu'il est essentiel de l'approfondir, en fournissant un aperçu clair et utile pour s'orienter parmi les différentes options disponibles, évitant de confondre continuellement un examen avec un autre.
Absence de désalignement de l’Atlas dans les rapports médicaux
Cela peut te sembler paradoxal, mais attendre d’un médecin ou d’un radiologue qu’il parle du désalignement de l’Atlas revient à supposer qu’un peintre en bâtiment soit également un expert des œuvres de Picasso. Bien que les deux travaillent dans le domaine de la peinture, ils opèrent dans des domaines complètement différents. Certes, il est possible de trouver un peintre en bâtiment qui, en plus de peindre des murs, soit un passionné de Picasso, mais dans la plupart des cas, cela est peu probable. Cette simple analogie vise à te faire comprendre qu’un radiologue ne recherche pas les désalignements vertébraux. Ce concept doit être bien clair.
Ne t’attends pas à trouver des références au désalignement de ton Atlas dans les rapports radiologiques. Ce n’est que récemment, et uniquement après la création d’une méthode et d’un équipement capables de corriger de manière efficace et stable la première vertèbre cervicale, qu’il a été possible d’identifier rétrospectivement l’Atlas comme une cause possible de certains troubles. Dans les textes de médecine, l’Atlas désaligné n’est pas encore considéré comme une condition pathologique, raison pour laquelle médecins et radiologues ne réalisent généralement pas d’investigations dans cette direction. Par conséquent, même lorsque le désalignement de l’Atlas est présent et bien visible, il est rarement identifié ou inclus dans un rapport radiologique.
Évolution de la technologie et expertise spécialisée
Si tu souhaites explorer et adopter une nouvelle technologie, il n’a aucun sens de te fier à ceux qui utilisent encore des méthodes désormais obsolètes, quelle que soit leur expérience ou leur formation. Par exemple, tu ne peux pas t’attendre à ce qu’un conducteur de voiture à essence te fournisse des informations fiables sur ce que signifie conduire une voiture électrique Tesla.
Une idée fausse courante sur les connaissances médicales
Il est courant de penser qu’un médecin doit toujours être informé de chaque nouvelle avancée dans le domaine de la médecine simplement parce qu’il travaille dans le secteur de la santé. La médecine est en constante évolution, et il n’est pas certain que ton médecin soit au fait des découvertes les plus récentes, comme le désalignement de l’Atlas et sa correction.
Faire confiance à ceux qui possèdent des compétences spécifiques
Par conséquent, si tu souhaites obtenir des informations fiables et approfondies sur la correction durable de l’Atlas, tu ne peux pas et ne dois pas te fier à ton médecin ou thérapeute de confiance, car il est peu probable qu’ils aient une expérience spécifique dans ce domaine. Leurs connaissances peuvent être limitées ou imprécises. Comprendre cette réalité est essentiel pour prendre des décisions éclairées sur la manière de procéder et entre quelles mains te confier.
La règle universelle, valable dans tous les domaines, est que lorsqu’il s’agit de quelque chose de révolutionnaire et sans précédent, seul celui qui l’a créé possède une compréhension complète de ce que c’est et de son fonctionnement réel. Par la suite, cette connaissance est transmise progressivement à ceux qui appartiennent à son cercle. Tous les autres, bien qu’ils opèrent dans le même secteur, restent exclus et ne peuvent que spéculer ou formuler des hypothèses, souvent inexactes ou erronées.
Dans ce contexte, Atlantomed s’impose comme une référence pour traiter efficacement le désalignement cervical supérieur. Si tu souhaites obtenir les résultats que seul Atlantomed peut offrir, il est indispensable de consulter un professionnel pratiquant la méthode Atlantomed.
Méthodes de diagnostic par imagerie
Radiographie
La radiographie (RX) a été la première méthode d’imagerie développée pour examiner l’intérieur du corps humain. Voici son fonctionnement : un tube émet des rayons X qui traversent le corps et sont ensuite captés par un capteur situé de l’autre côté. En raison de leur densité plus élevée, les os absorbent plus de rayons X que les tissus mous. Cela fait apparaître les os en blanc sur l’image radiographique, car ils bloquent une plus grande quantité de rayons. En revanche, les tissus mous, qui laissent passer davantage de rayons X, apparaissent plus sombres sur l’image finale.
Que sont les rayons X ? Ce sont des ondes électromagnétiques, de la même nature que la lumière du soleil, mais avec une fréquence beaucoup plus élevée. Plus la fréquence est élevée, plus le pouvoir de pénétration des ondes électromagnétiques est grand. Alors que les rayons du soleil peuvent être bloqués par une simple feuille de papier ou par les vêtements que nous portons, les rayons X peuvent traverser le corps, permettant de visualiser ses structures internes.
Grâce aux avancées technologiques et à l’amélioration de la sensibilité des capteurs, il faut aujourd’hui de très faibles doses de rayons X pour produire une image radiographique nette.
Une radiographie ne peut représenter un sujet qu’en deux dimensions. Par conséquent, une image radiographique ne peut pas être utilisée pour évaluer la relation spatiale tridimensionnelle entre l’Atlas et l’os du crâne. Prétendre analyser le désalignement de l’Atlas dans les trois plans de l’espace à partir d’une radiographie bidimensionnelle témoigne d’un manque de connaissances de base et d’une compréhension inadéquate du sujet.
Imagerie par résonance magnétique
L’imagerie par résonance magnétique (IRM), également appelée tomographie par résonance magnétique (Magnetic Resonance Tomography, MRT) ou résonance magnétique tomographique (RMT), ou simplement RM, fonctionne sur un principe totalement différent de la radiographie et n’utilise pas de rayons X.
Le terme "tomographie" signifie simplement "image en coupes". Bien que la RMT inclue le mot tomographie, la résonance magnétique tomographique ne doit en aucun cas être confondue avec la tomodensitométrie (ou scanner). Ces deux techniques sont fondamentalement différentes, comme le jour et la nuit.
Mais comment fonctionne l'IRM ? En termes simples, pendant une imagerie par résonance magnétique (IRM), le corps est soumis à un champ magnétique rotatif très puissant. Les molécules d'eau contenues dans les tissus mous sont induites à vibrer à leur fréquence de résonance spécifique, les alignant comme des aimants.
Lorsque l'impulsion magnétique cesse, en fonction du type de tissu et de son contenu spécifique en eau, les molécules reviennent à leur état initial à des rythmes différents, ce qui permet de distinguer les différents tissus corporels sur l'image obtenue. L'acquisition des images se fait par couches et prend un temps relativement long, jusqu'à 30-40 minutes, selon l'étendue de la zone à scanner.
Alors qu'une radiographie ou une tomodensitométrie (TDM) fournissent une excellente vue des os au détriment des autres tissus, l'IRM permet de mieux visualiser les tissus mous que les os. Une IRM, comme une radiographie, ne permet qu'une vue bidimensionnelle de la zone scannée. Ces deux facteurs rendent l'IRM inadaptée pour identifier correctement la position de l'Atlas sur les trois plans spatiaux. L'IRM présente l'avantage majeur de produire des images sans utiliser de rayonnements ionisants nocifs, mais elle permet malheureusement seulement une vision partielle de ce qui nous intéresse.
Tomodensitométrie ou Scanner spirale
En termes simples, une tomodensitométrie ou TDM, est une technique d'imagerie qui capture des centaines de "radiographies" sous différents angles, qui sont ensuite assemblées en une seule image tridimensionnelle à l'aide de logiciels spécialisés.
Les appareils modernes utilisent la technologie en spirale, où le tube de rayons X et le capteur opposé tournent en continu autour du patient, tandis que la table sur laquelle il est allongé avance lentement. Les premiers scanners étaient appelés tomodensitométrie axiale (TAC) car ils ne permettaient de capturer des images que sur un seul axe.
Le terme TAC est encore couramment utilisé à tort dans le langage courant, alors que le terme correct serait TDM, TDM en spirale ou CT scan spirale
L'inconvénient de ce type d'examen réside dans la grande quantité de radiations (rayons X) à laquelle on est exposé. Les radiations d'une TDM du crâne équivalent à celles de 250 radiographies thoraciques, soit 2000 microsieverts.
TCCB – Tomodensitométrie à Faisceau Conique
La tomodensitométrie à faisceau conique (TCCB) ou Scanner Cone Beam trouve son utilisation principale en orthodontie. Le principal avantage d'une TCCB par rapport à une TDM est sans aucun doute la moindre quantité de radiations à laquelle on est exposé.
Selon le modèle du scanner utilisé, la dose de radiation absorbée varie de 20 microsieverts pour les appareils de dernière génération à 120-160 microsieverts pour les appareils plus anciens. Dans le meilleur des cas, les radiations sont 100 fois inférieures à celles d'une TDM en spirale.
En termes de qualité d'image, la TDM en spirale et la TDM à faisceau conique sont comparables, mais la TCCB a l'avantage de produire moins d'artefacts.
Cependant, la moindre intensité des radiations émises entraîne une capacité réduite à distinguer les os des tissus mous, une limite qui peut rendre difficile la visualisation précise de l'Atlas. Le scanner Cone Beam, largement utilisé en odontologie, est optimisé pour obtenir des images de la mâchoire, qui est recouverte par une fine couche de tissu, tandis que l'Atlas se trouve à une position beaucoup plus profonde. Cette limite peut être surmontée en augmentant la dose de radiation. Malgré cela, la dose de radiation absorbée reste significativement inférieure à celle d’un scanner spiralé, ce qui fait de la TCCB une option plus sûre en termes d'exposition aux radiations.
L'examen Cone Beam se réalise en position debout, sans avoir à s’allonger dans un tube, une caractéristique particulièrement appréciée des personnes souffrant de claustrophobie. Un autre avantage est que les vertèbres cervicales sont en charge, évitant ainsi l'aplatissement de la courbe physiologique de la colonne cervicale, qui se produit inévitablement lorsque l'on est allongé. De cette manière, il est possible de déterminer non seulement l'alignement vertébral, mais également la présence éventuelle d'une rectitude du rachis cervical.
Un autre point à considérer est le suivant : en odontologie, on utilise des capteurs de petite taille, généralement autour de 7 cm. Cependant, ces dimensions ne suffisent pas pour capturer tout le contour du crâne. Pour obtenir des images adéquates, il faut un capteur d'au moins 15 cm. Comme expliqué ci-dessous, si l'ensemble de la circonférence du crâne n'est pas capturé, les images peuvent devenir inutilisables pour notre objectif.
En résumé :
- Un capteur d'une taille supérieure à 15 cm est nécessaire.
- La dose de radiation doit être augmentée pour mieux différencier les tissus.
Il est indéniablement plus difficile de trouver un centre correctement équipé pour effectuer un scanner Cone Beam qu'un centre disposant d'un scanner spiralé, ce dernier étant beaucoup plus courant. Cependant, l'effort requis pour trouver le bon centre est certainement justifié lorsqu'il s'agit de préserver sa santé.
Un autre avantage d’un scanner Cone Beam bien réalisé est la capacité de visualiser les racines des dents et l'os environnant avec une précision impossible à atteindre avec des radiographies conventionnelles ou panoramiques. Dans les images bidimensionnelles, en effet, les multiples racines des molaires se superposent souvent, se masquant les unes les autres. Avec une TCCB, en revanche, votre dentiste pourra identifier d'éventuelles infections cachées qui, autrement, resteraient invisibles.
Les problèmes de la cavité buccale ont tendance à augmenter avec l'âge et peuvent causer des dommages chroniques graves à la santé. Profitez de cette opportunité, surtout si vous devez déjà subir une TCCB !
Un scanner doit être réalisé uniquement dans certaines circonstances spécifiques
Un scanner ne fournit pas d'informations sur l'état de la tension musculaire ni sur la fonctionnalité articulaire. Pour cette raison, indépendamment de la disponibilité d’un scanner, la personne doit être évaluée manuellement et avec précision par un spécialiste d'Atlantomed.
Le scanner doit être considéré comme un soutien pour les cas complexes, plutôt qu'un examen de première intention. Vous comprendrez donc qu’il n’est ni logique ni efficace de passer un scanner de votre propre initiative dans l’espoir d’éviter un déplacement. Vous pourriez avoir un Atlas relativement aligné, mais une musculature cervicale si contractée et dysfonctionnelle qu’un traitement avec l’AtlantoVib serait tout de même nécessaire et bénéfique. Dans l’approche Atlantomed, contrairement à la médecine conventionnelle, on privilégie le chemin le plus simple, raisonnable et le moins invasif, qui est efficace dans 90 % des cas. Ce n’est que pour les 10 % restants que l’on recourt à des solutions plus complexes lorsque cela est nécessaire. Cette approche minimise les examens et les traitements inutiles.
La rotation de l'Atlas ou de l'Epistrophée n'est qu'un des facteurs évalués pour indiquer un traitement. Par conséquent, vous comprendrez qu’il est inutile de se soumettre à des radiations sans avoir été d’abord examiné attentivement par un spécialiste de l'Atlas. Dans la plupart des cas, un scanner n'est pas nécessaire et ne doit être envisagé que dans des étapes ultérieures, si cela est strictement nécessaire. Si cet examen a déjà été effectué dans le passé, il est important que le thérapeute l'analyse avant la séance. Pour ce faire, les données volumétriques du scanner sont nécessaires, et non uniquement le rapport médical.
Comment effectuer correctement un scanner pour visualiser le désalignement de l'Atlas
Pour évaluer correctement la région cervicale supérieure, il est nécessaire d’obtenir des images de la zone anatomique appropriée. La portion idéale à visualiser devrait inclure le tiers inférieur du crâne et s’étendre jusqu’aux vertèbres C5-C6, à condition que la taille du capteur le permette.
Il n'est pas nécessaire d'irradier tout le crâne vers le haut, ni d'étendre l'examen trop bas le long de la colonne cervicale. Irradier une portion anatomique plus large que nécessaire n’est pas seulement superflu pour l’objectif de l’examen, mais expose également le corps à des radiations injustifiées. En descendant au-delà de C5-C6, on irradierait inutilement la thyroïde, un organe particulièrement sensible aux radiations.
Il est essentiel que toute la circonférence du crâne soit visible sur les images. L’absence de toute partie, qu’elle soit frontale (y compris les dents), postérieure ou latérale, peut priver le spécialiste de références cruciales pour une évaluation adéquate, au point de rendre les images inutilisables. Une acquisition correcte des images est donc essentielle pour une évaluation précise.
Comment évaluer correctement un scanner ?
Il existe certaines circonstances qui nécessitent une évaluation du scanner par un spécialiste de l'Atlas, soit parce qu’un examen a été effectué précédemment, soit parce qu’un nouveau scanner a été réalisé après un traitement infructueux, ou encore dans des cas particuliers où il existe des malformations ou des contre-indications.
L'évaluation de l'alignement des vertèbres via un scanner commence par la reconstruction des données volumétriques en une image 3D. Cela permet d'observer et d'analyser le crâne sous différents angles, en éliminant les sections qui pourraient masquer des détails pertinents. Cela nécessite le logiciel adéquat, les connaissances appropriées, une compréhension claire de ce que l’on recherche et sur quoi se concentrer. Vous comprendrez donc qu'il est absolument inutile de nous montrer une seule image extraite de votre CD, comme c’est souvent le cas, quelle que soit cette image ! En l'absence de ces éléments, l’analyse devient un exercice inutile et trompeur. Si nous ne recevons pas le fichier contenant les données mais seulement des images individuelles, nous ne pouvons rien en tirer !
Pour effectuer une reconstruction 3D et évaluer correctement la région cervicale, toutes les données volumétriques du scanner sont nécessaires, c’est-à-dire le dossier contenant les images au format DICOM d’environ 100 à 500 Mo présent sur le CD. Tous les autres fichiers sont superflus et ne doivent pas être envoyés. Le dossier en question est généralement nommé DICOM, mais il pourrait également avoir un autre nom attribué par le radiologue. Si le dossier fait moins de 50 Mo, vous n’envoyez PAS le BON ! Comme mentionné précédemment, il est inutile d’envoyer des radiographies, des IRM (imageries par résonance magnétique), des rapports médicaux ou radiographiques, sauf s’ils sont explicitement demandés pour des raisons spécifiques. Si vous avez lu attentivement et compris ce qui est expliqué, et que vous souhaitez nous envoyer vos images de scanner, la manière la plus simple, rapide et efficace est de transmettre uniquement le dossier contenant les données volumétriques en utilisant le service wetransfer.com.
Comment savoir si mon Atlas est désaligné ?
Le CD fourni par le radiologue contient un programme de base qui vous permet de visualiser les images couche par couche en 2D sur les trois différents plans. Il peut sembler évident d'identifier un désalignement de l'Atlas, mais ce que vous pensez voir en mode 2D n'est véridique que dans des conditions très précises.
Pour pouvoir confirmer un désalignement avec une visualisation 2D, certains ajustements préliminaires sont nécessaires. Il est impossible d’évaluer correctement la position de l’Atlas par rapport au crâne si ce dernier n’est pas d'abord aligné sur ses trois plans. Lors d’un scan, la tête est rarement dans une position parfaitement orthogonale, un aspect souvent négligé mais qui doit être impérativement pris en compte et corrigé avant d’analyser les images, en particulier en visualisation 2D. La question à se poser est la suivante : qu'est-ce qui est tordu par rapport à quoi ? Si, dès le départ, la tête entière apparaît désalignée et non orthogonale dans le scan que vous observez, toute structure interne que vous examinez sera affectée de la même manière. Par ailleurs, si la TC ne comprend pas le contour complet du crâne, il devient impossible d’aligner correctement l’image, et ce que vous croyez voir pourrait ne pas correspondre à la réalité. En d'autres termes, sans références stables pour vérifier si toute la tête est droite ou non, comment pouvez-vous espérer comprendre ce qui est désaligné en interne ? Pourtant, beaucoup posent des diagnostics de cette manière absurde, sans réellement comprendre ce qu'ils observent. Il existe également d’autres difficultés importantes à considérer, mais elles ne sont pas approfondies ici pour ne pas trop s’étendre.
Ces ajustements sont systématiquement ignorés et, si les TC sont de plus réalisées "maladroitement", comme c'est souvent le cas, ils deviennent impossibles à appliquer ! Regarder l'image d'une seule couche d'une TC, sans s'assurer d'avoir correctement aligné le crâne sur ses axes, rend toute analyse dénuée de sens.
Avec la reconstruction 3D des images, il est possible de surmonter certaines lacunes dans l'acquisition originale, ce qui permet une évaluation beaucoup plus simple et directe des désalignements. Cependant, il reste nécessaire de faire pivoter plusieurs fois l'image 3D du crâne selon différents axes pour observer les détails utiles à l'évaluation du désalignement.
IMPORTANT : comme mentionné au début et réitéré ici pour souligner son importance, un radiologue est formé pour identifier des altérations structurelles spécifiques et des pathologies bien définies, mais le désalignement de l'Atlas ne fait pas partie des problèmes couramment recherchés. Par conséquent, il est peu probable qu’un radiologue puisse fournir une évaluation précise sur cet aspect. Il est très rare de trouver des indications relatives aux désalignements vertébraux dans les rapports radiologiques et, même lorsqu’elles sont présentes, elles peuvent être imprécises ou incorrectes. Nous insistons sur ce point, car de nombreuses personnes croient que leur colonne vertébrale est parfaitement alignée simplement parce que rien de spécifique n’est mentionné dans le rapport. La phrase "le médecin a dit que tout allait bien" est quelque chose que nous entendons souvent, mais cela pourrait malheureusement ne pas refléter la réalité. Pour cette raison, nous examinons et évaluons indépendamment les images de la TC, quel que soit le rapport. Nous nous engageons à analyser les images en détail et à partager avec vous tout ce que nous détectons, y compris les éventuelles anomalies ou désalignements qui auraient pu être négligés dans une évaluation radiologique standard.
Répercussions sur l'Axis et les autres vertèbres cervicales
AVANT
APRÈS ATLANTOMED
Cette reconstruction tridimensionnelle, obtenue à l'aide d'un scanner spirale, offre une vue détaillée des vertèbres cervicales supérieures, observées de dos, avant et après la correction de la vertèbre Atlas par la technique de vibro-résonance Atlantomed.
L'image post-traitement met en évidence une amélioration significative de l'alignement de la première vertèbre Atlas par rapport à l'occiput et à la deuxième vertèbre cervicale (Axis). Cet nouvel équilibre se traduit par une disposition plus naturelle et symétrique des structures cervicales supérieures.
En particulier, la dent de l'Axis apparaît visiblement plus centrée dans son articulation avec l'Atlas, améliorant ainsi la répartition des forces mécaniques dans toute la région cervicale. De plus, le crâne, qui avant le traitement semblait incliné vers la droite, a retrouvé une position plus équilibrée, suggérant un rétablissement de l'harmonie structurelle entre le crâne et la colonne vertébrale.
Conclusions
Une fois les différences entre les diverses méthodes de diagnostic par imagerie comprises, il est important de faire quelques considérations : les radiations ionisantes, c'est-à-dire les rayons X, ne sont pas bénéfiques pour la santé et doivent être utilisées avec parcimonie, uniquement lorsqu'il n'y a pas d'autres options et que le rapport risque-bénéfice est clairement favorable au bénéfice.
L'exposition aux radiations augmente le risque de développer des cancers et des leucémies. Pour cette raison, aujourd'hui, dans de nombreux contextes, on préfère utiliser l'imagerie par résonance magnétique plutôt qu'un scanner, bien sûr lorsque les conditions cliniques le permettent. Cependant, en ce qui concerne l'Atlas, comme expliqué précédemment, l'imagerie par résonance magnétique n'est pas appropriée.
Si l'évaluation manuelle des vertèbres n'était pas suffisante et qu'il était nécessaire de recourir à un scanner, et que celui-ci permettait une correction ciblée et efficace avec une disparition subséquente des symptômes, alors l'examen radiologique était justifié.
En revanche, il ne l'était pas si le même résultat pouvait être obtenu uniquement grâce à l'examen manuel effectué par un spécialiste Atlantomed. Cela signifie que la bonne procédure consiste à se rendre D'ABORD dans un Centre Atlantomed pour évaluer ensemble la marche à suivre. Si, par paresse ou pour éviter un déplacement, vous décidez de faire le scanner au préalable, sachez que vous n'agissez pas de manière responsable pour préserver votre santé future. Si, en revanche, vous disposez déjà de cet examen réalisé auparavant, il est conseillé de l'apporter avec vous ou de l'envoyer à l'avance. Nous nous référons exclusivement aux scanners spirale ou Cone Beam (TCCB), et non aux résonances magnétiques. Si vous n'avez pas compris la différence, nous vous invitons à relire attentivement les explications ci-dessus.
De nombreuses personnes se soumettent à des examens de scanner avec une certaine légèreté, presque comme s'il s'agissait d'une routine, sans considérer les conséquences potentielles à long terme de l'exposition aux radiations. Souvent, le radiologue en charge n'a ni le temps ni l'occasion de fournir des informations adéquates au moment de l'examen. C'est précisément pour cette raison que nous avons approfondi le sujet en détail, afin que vous puissiez prendre une décision éclairée et sensée.
Pour effectuer le traitement de correction de l'Atlas, AUCUN scanner préliminaire n'est requis. Seulement dans certains cas spécifiques, si le spécialiste Atlantomed rencontre des difficultés à déterminer la position de l'Atlas par un examen manuel, il sera évalué ensemble comment procéder.
Avis important
Il est important de préciser que le spécialiste Atlantomed examine les images uniquement dans le but d'évaluer la position des vertèbres, afin de déterminer comment procéder à la correction. Cela ne constitue en aucun cas un diagnostic médical et ne doit pas être interprété comme tel. Le désalignement de l'Atlas n'est pas une maladie.
Si vous souhaitez un diagnostic de l'état pathologique de votre colonne vertébrale ou de l'état de vos racines dentaires, nous vous invitons à consulter un médecin radiologue compétent ou un dentiste.
Nous n'avons pas pour rôle de recevoir vos IRM ou vos rapports médicaux pour offrir un diagnostic. Atlantomed N'EST PAS un traitement médical, mais un traitement purement mécanique ; pour cette raison, le spécialiste de l'Atlas ne prétend en aucun cas se substituer à votre médecin traitant.
Lisez attentivement cette page : Pour qui est le traitement Atlantomed ?
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Écrit par : Alfredo Lerro